Communiqué
L’Institut Georges Pompidou est bouleversé par la mort brutale de son vice-président, Olivier Marleix.
Fidèle gaulliste et fidèle à sa famille politique depuis le début de son engagement au tournant des années 1990 à l'UJP et au RPR, Olivier Marleix était un exemple d’intégrité politique au service du bien commun. Son goût et son admiration pour les valeurs pompidoliennes, la fidélité familiale à l’héritage politique de Georges Pompidou et ses racines cantaliennes l’avaient naturellement rapproché de l’Institut Georges Pompidou comme membre de son conseil d’administration, puis comme vice-président. Tout au long des commémorations du cinquantenaire de la mort de l’ancien Président, tous les membres de l’Institut ont pu constater son attachement à la mémoire et à l’héritage politique et économique de Georges Pompidou. L'unanimité des hommages qui lui sont rendus par l’ensemble des responsables politiques du pays soulignent l’homme de grande valeur, l’honnête homme, le grand parlementaire qui manquera désormais à la France et aux Français.
Affligés par sa disparition, Alain Juppé, président de l’IGP, les membres du bureau et du conseil d’administration, réunis le 8 juillet, ainsi que l’équipe des permanents de l’Institut, adressent à ses parents et en particulier à Alain Marleix, administrateur de l’Institut Georges Pompidou et président de l’Association cantalienne Georges Pompidou, à sa famille, à ses enfants, et à ses proches, l’expression de leurs plus sincères condoléances.